• Comme l’âme, il y a des endroits auxquels on ne peut accéder !

    Pourtant parfois, alors que l’on ne s’y attend pas,

    ces âmes s’ouvrent…

     

    Surprise ! il y a de la lumière...

     

     

     

    Vous m’avez reconnu ?

    Non, pas le violoniste... ce n’est pas moi ! Je vous parle de l’encadrement de la porte !



     

    Ces âmes... sous le toit !

    Toujours pas ?

    Je ne suis pas non plus Sant-Alar...



    Ces âmes... sous le toit !

    ni Saint-Jean...



     

    et encore moins Sainte-Barbe.

    (qui n'a pas l'air très souriant, soit dit en passant...  Suis-je rasoir ?)



     

    Ces âmes... sous le toit !

    Ce soir, c'est soir de concert...



     

    Ces âmes... sous le toit !

    Jour de chance pour vous... et surtout pour moi !



     

    Ces âmes... sous le toit !

    Je profite de la préparation du concert pour me faufiler à l'intérieur de la chapelle et prendre, un peu trop rapidement à mon goût, quelques photos en espérant déranger le moins possible les répétitions...

    (et même si je dérange, c'est pour la bonne cause !)

     

     

     

    Ces âmes... sous le toit !

    Curieux !

    Oui, l'endroit est curieux. Je ne m'attendais pas à un intérieur aussi hétéroclite. Un vrai capharnaüm !



     

    Bon, il est vrai que les projecteurs et les enceintes ne font pas partie du décor habituel d'une petite chapelle bretonne... De là à dire que c'est une chapelle à géométrie variable, je vous en laisse le son... heu, le soin !



     

    Voila, vous y êtes maintenant ?



     

    Eh oui ! Sous le toit de la chapelle de Locmeven et derrière sa porte trop souvent inanimée, saint-Méen a une âme !

    A vrai dire, je n'étais pas là tout à fait par hasard. Je guettais depuis quelques mois la date du pardon de la chapelle. Mais apparemment, de pardon, il n'y a plus... C'est en cherchant la date de l'éventuel pardon que je suis tombé par hasard sur cette date de concert, le jour J, quelques heures avant son début !!!

    Il s'en est fallu de peu pour que vous ne lisiez pas ce post de si tôt.


     


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  •  

     

    Balade dans le petit monde d'Ouessant.

     

     

    La pointe de Pern et le phare du Nividic.

    Le phare du Nividic  est construit entre 1912 et 1936. Les pylônes portaient un câble électrique nécessaire à l’alimentation du feu du phare. Une nacelle, de type téléphérique, portée par le même câble permet d’acheminer jusqu’au phare les hommes nécessaires à l’entretien.  Au cours de la seconde guerre mondiale, le phare est éteint et les câbles mal entretenus qui desservent la nacelle finissent par se rompre. La nacelle ne sera plus réutilisée.  Un câble est remis en service en 1953 mais il sera de nouveau hors d’usage très rapidement. La décision est prise d’équiper le phare d’une plate-forme d’atterrissage pour hélicoptère, située au-dessus de sa lanterne permettant ainsi de livrer régulièrement des bonbonnes de gaz pour assurer son fonctionnement. Aujourd’hui, le phare du Nividic fonctionne avec des panneaux solaires (installés en 1996).

     

     

    le Phare du Créac'h et le moulin de Caraës.

     


    Petit moulin pivot ou chandelier, le moulin de Caraës est le seul survivant sur l'Ile. Avant 1914, l'île comptait 60 moulins. Les 9 grands moulins de Ouessant ont laissé peu à peu leur place à ces petits moulins qui ont disparu à leur tour. L'abandon de la culture de l'orge sur l'île en est la cause.

     

     

    Rochers entre la Palud et Niou Izella.

     

     

    Le phare du Créac'h.

    Construit en 1859, le phare de Créac'h permet de reconnaître sans  confusion  les deux pointes par lesquelles on peut doubler l'île. Allumé en 1863, le Créac'h est l'un des phares les plus puissants du monde. Sa portée lumineuse est d'environ 60 kilomètres. Il a une hauteur de 54,80 mètres au dessus du sol et de 74,60 mètres au dessus de la mer. Il émet deux éclats blancs toutes les 10 secondes.

     

     

    Des moutons très Gwenn ha du.

     

     Disparus de l’île entre les deux guerre, les moutons noirs d’Ouessant, considérés comme les plus petits ovins du monde, ont étés réhabilités au cours des années 1970 grâce à quelques sujets retrouvés notamment au Jardin des Plantes. Le premier apport de ces moutons a lieu par accident en 1936, lors du naufrage du cargo "Mykonos", près de Galgrac’h : les béliers y prennent pied et se reproduisent. En quasi liberté totale à cette période de l'année, ils gambadent un peu partout sur l'île et s'aventurent même dans les jardins insuffisament protégés.


     

    Le Créac'h vu de la pointe de Penn ar Viller.

     


    1, 2, 3, soleil

    Pen ar Viller est la pointe la plus "douce" de l'île. Moins découpée, moins exposée et moins haute que les autres pointes, elle offre une vue sur le phare de la Jument et la pyramide du Runiou.

    Le phare de la Jument a été construit à l'entrée des courants violents du Fromveur où de nombreux naufrages eurent lieu : entre 1888 et 1904, trente et un navires sont perdus dans cette zone. Le chantier s'ouvrit en 1904 sur le rocher Ar Gazek-Koz, "La Vieille Jument" en breton. Le phare fut construit au prix de multiples dangers et sa consolidation se poursuivit jusqu'en 1940. Il mesure 47,4 mètres au dessus du sol et 41,25 mètres au dessus des hautes mers. Sa portée lumineuse est d'environ 39 kilomètres. Automatisé en 1991, il est télécommandé à partir de Créac'h.

     


    Porz ar lan au sud de l'île,

     


    et sa plage. L'eau y est plus froide en raison des courants du Fromveur.

     


    Des galets sur les murs...

    Servent-ils à retenir les murs les jours de tempête ? Je ne sais pas mais lorsqu'ils sont posés sur des morceaux de bois amenés par la marée, ils signifient « je reviens les prendre plus tard ». (Pas les galets... les morceaux de bois !).


     

    et des moutons sur la barrière !

     

    Un mouton blanc saute la barrière,

    Deux moutons blancs sautent la barrière,

    Trois moutons blancs sautent la barrière...

     

     

    L'embouchure du port du Stiff depuis la pointe de Pen ar Lann.


     

    Le Cromlech de Pen ar lann.

    Le petit point noir au dessus de la pierre est un avion qui décole de l'aérorome.

     

     

    Cette enceinte est composée de petits menhirs et date environ de 2000 av. J.-C. Elle est bâtie selon un plan elliptique. Son tracé et son orientation semblent indiquer qu'elle était destinée à des observations du ciel. L'allignement de Pen Ar Lan, de forme ovoïde possédait un petit menhir central. Il mesure 13 m sur 10 et comprend encore 18 petits blocs réunis par un petit muret de pierre.

     


    La pointe de Stiff vue depuis celle de Cadoran.

     

     

    Vert lumineux et Gris sombre.

    Le temps change en cette fin de journée.

     


    Le Phare du Stiff.

    Il fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 22 novembre 2010. En 1699, Vauban décida d'élever au sommet de la falaise du Stiff, point culminant de l'île d'Ouessant, deux tours tronconiques que l'on peut toujours identifier dans l'architecture de l'édifice. Il est un des 6 premiers phares construits par Vauban et un des plus anciens phares de France encore en activité après celui de Cordouan. Le phare s'élève à 32,40 mètres au dessus du sol et à 89,10 mètres au dessus de la mer. Sa portée lumineuse est d'environ 44 kilomètres. Non gardienné, il est automatisé et télécontrôlé depuis Le Créac'h. Il est visitable en juillet et en août.

     


    Depuis 1978, une tour radar l'accompagne dans sa surveillance de l'entrée de la Manche.

     


    La maison sur la falaise, vue imprenable garantie !

     


    L'île de Cadoran et le Roc'h Mell.

     


    L'île de Keller.

    Non, la nuit ne tombe pas ! La pluie non plus d'ailleurs...  Coup d'oeil sur ma montre. J'hésite un peu mais j'ai encore le temps d'aller la voir de plus près et je ne vais pas le regretter... 

     

     

    L'île de Keller, petit îlot privé situé dans le nord de l'île. C'est un énorme bloc rocheux qui s'élève à 30-40 m au-dessus de la mer par des falaises impressionnantes, d'une longueur d'environ 1 km et d'une largeur de 600 m. En son centre est situé un manoir, la seule et unique maison de l'île, sans eau courante ni électricité...

     


    Des pyramides de galets au sommet de la pointe de Cadoran.

     


    Le Créac'h et Keller.

    Vus depuis Penn ar Men Du, le soleil est revenu...

     


    Depuis le phare, la baie du Stiff. En face la pointe de Pen ar Lan.


     

    Mer turquoise et grotte au pied de la falaise.

     


     

     


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  • Le phare de morgat a été construit sur la falaise remplaçant un autre phare plus petit (aujourd'hui détruit) qui balisait la pointe de la jetée de l'ancien port de pêche où les thonniers de bois accostaient jusque dans les années 1980.

     

     

    1, 2, 3, soleil

    Au petit matin, entre brume et soleil, vu depuis  la pointe du menhir, le phare de la pointe du Kador. 

     

     

     1, 2, 3, soleil

    Le projet de réalisation d'un phare sur la pointe du Kador ne naît qu'en 1911. Il est inauguré le 9 avril 1914.

     

     

     1, 2, 3, soleil

    Il est 7 heures, Morgat s'éveille...

     

     

     

     La construction de ce phare pour éclairer le port est demandée par les pêcheurs dès 1878. En 1889, l'administration accorde l'autorisation d'installer un éclairage fixe sur le môle, mais la réalisation est différée faute d'argent.

     

     

     

    1, 2, 3, soleil

    Le sentier côtier partant du port étant fermé, il faut rejondre le phare soit par le sentier situé un peu plus haut au dessus du port ou par le bois en suivant "l'allée du phare".


     

     

     

     

    1, 2, 3, soleil

    Bleu, blanc, rouge...

     

     

     

    1,2,3, soleil

    Il est inauguré le 9 avril 1914 et éclaire en blanc les zones saines, en vert les écueils, en l'occurrence les Verrès ou la Pierre profonde. La côte est éclairée en rouge jusqu'au cap de la Chèvre.

     

     

     

    1, 2, 3, soleil

    En arrivant par l'allée du phare, après les palmiers...

     

     

     

    1,2,3, soleil

    Cette pointe était autrefois connue pour sa grande arche de granit, dite arche du Kador, dont la légende locale dit qu'elle s'est ouverte pour laisser passer un navire en détresse après que les marins eurent prié Sainte Marine de les sauver. L'arche s'est effondrée dans les années 1980.


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  • Carnoët.

    Il y a quelques mois, je vous ai présenté la vallée des Saints. Nous avions quitté les statues alors qu'elles étaient encore à Saint-Pol de Léon. Aujourd'hui, je vous propose de les rejoindre dans la vallée (non, pas de Dana !) de Carnoët où elles vont définitivement prendre racine.

     

    1, 2, 3, soleil

    La vallée des Saints se situe sur la commune de Carnoët (22), non loin de la butte Saint-Gildas. Au sommet de celle-ci se trouvent les vestiges d'une motte cadastrale. En 1197, Richard coeur de Lion, roi d'Angleterre, envahit la Bretagne avec son armée. Il connut beaucoup de victoires, mais c'est à Carnoët qu'il subit une terrible défaite précisément au Tossen-Sant-Gweltaz.

     

     

    1, 2, 3, soleil

    Ainsi, après s'être unis et armés, les bretons livrèrent bataille aux Anglais. Cette bataille fit des milliers de morts du côté des Anglais. Le roi eut la vie sauve grâce à sa fuite en pleine nuit. Il garda la vie mais aussi une profonde humiliation.

    A gauche sur la photo, ce ne sont pas des statues de pierre mais des visiteurs en chair et en os. Ce qui vous donne une petite idée de la taille des statues...

     

     

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    Sur l'esplanade de l'atelier de sculpture, les 7 nouvelles statues nées en août 2010.

     



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     Santig-Du, Saint-Gildas et Saint-Hern.

     

     

    1, 2, 3, soleil

     Saint-Hern, Saint-yves et Saint-Patrick.

     

     

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    Sainte-Anne.

    Dicton : Si les fourmis s'agitent à la Sainte-Anne, l'orage descend de la montagne. Dicton prédestiné pour la présence de Sainte-Anne sur la butte Saint-Gildas ?

     

     

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     Santig-Du.

    Né au 13e siècle à Saint-Vougay, franciscain au service des pauvres à Quimper, mort de la peste. Très populaire en Bretagne, « Santig Du » est le patron des pauvres. Dans la cathédrale Saint-Corentin de Quimper, près de sa relique, une tablette reçoit encore du pain déposé là par des anonymes et récupéré par des personnes dans le besoin.

     

     

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     Saint-Gildas (Gweltas).

    Dicton : Temps de Saint Gildas, temps de glace.

     

     

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    Saint-Hern.

    Protecteur des hommes et des animaux.

     

     

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    Saint-Patrick.

    Dicton : Sème tes pois à la Saint-Patrick, tu en auras à ton caprice.

     

     

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     Saint-Yves, seconde version.

    Suite à une ploémique, kidnappée par son auteur, la première version n'a jamais quitté Saint-Pol de Léon.

    Dicton : A la Saint-Yves, le beau temps arrive. Considéré comme le dernier saint de glace en Bretagne, il est à l'origine d'un autre dicton « craignez le petit Yvonnet, c'est le pire de tous quand il s'y met. »

     Sur place, force est de constater que la statue de Saint-Yves est réellement plus petite que les autres !

     

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     Saint-Herbot.

    Réputé protecteur du bétail, il a inspiré le dicton : Sant Herbot, aman leiz ar ribot (Saint Herbot, du beurre plein la baratte).

     

     -o-o-o-o-o-o-


    les Saints déjà présents autour de la butte.


    Note personelle très inspirée :

    "Visiteurs, du haut de cette butte, 1000 Saints vous comtemplent"

    A méditer, tel Napoléon !

     

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    Saint-Brieuc surveille le clocher de la chapelle.

    Dicton : De la pluie le premier jour de mai, Ote aux fourrages de la qualité


     

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    Saint-Corentin et Saint-Samson admirent la chapelle Saint-Gildas pour l'éternité...


    Le Tossen-Sant-Gweltaz offre aux visiteurs, un  panorama unique. On peut appercevoir les plus proches clochers de nombreuses communes des Côtes d'Armor mais aussi ceux du Finistère, admirer les Monts d'Arrée, les montagnes noires ou la rade de Brest par temps clair. A voir également, au pied de la butte, la chapelle Saint-Gildas.


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     Saint-Corentin.

     

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     Saint-Patern.

     

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     Saint-Malo.

     

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     Saint-Patern,

     Dicton : Quand de Saint-Paterne vient la saison, la chaleur vient pour de bon.

     


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  • La Martyre, le plus ancien des "grands enclos".

     

    L'histoire officielle retient que c'est dans le monastère qui s'étendait là, jadis, que le roi de Bretagne, Salomon fut assassiné la nuit du 23juin 874. D'où le nom donné à la commune de La Martyre et à son église, Saint-Salomon, cernée par le plus ancien enclos paroissial du Léon (XIème siècle). La Martyre vient du breton "ar Merzer Salaün", le martyr de Salomon.

    Réseau du petit Patrimoine

     

     

    Réseau du petit Patrimoine

    Le clocher de l'église, peut-être influencé par la cathédrale de Saint-Pol-de-Léon, est érigé dans les premières années du XIVème siècle sur une maçonnerie plus ancienne.


     

    Réseau du petit Patrimoine

     

     

     

    Réseau du petit Patrimoine

     

     

     

    Réseau du petit Patrimoine

     L’accès à l’enclos se fait par un arc de triomphe de style gothique flamboyant qui présente la particularité d'être surmonté d’un chemin de ronde d’où l’on pouvait surveiller la foule lors des foires. La Martyre, ancienne trève de Ploudiry et dépendant de l'ancien évêché de Léon, était autrefois le siège d'une foire où l'on venait d'Irlande, d'Angleterre et des Flandres.

     


     

    Réseau du petit Patrimoine


     

    Réseau du petit Patrimoine

     

     

     

    Réseau du petit Patrimoine

     Le porche, de l’église fut le premier du genre dans la région (1460). Construit en pierre de Kersanton, il présente diverses scènes de la vie de Jésus Christ, dont la Nativité à la Vierge couchée, autrefois allaitante, elle a été mutilée par un prêtre pudibond.

     


     

    Réseau du petit Patrimoine

     

     

     

    Réseau du petit Patrimoine

     

     

     

    Réseau du petit Patrimoine

     

     

     

    Réseau du petit Patrimoine

    A l’intérieur du porche, Le bénitier orné de l'Ankou, personnification de la mort dans la Bretagne d’autrefois, date de 1601. Aux murs sont accrochés des niches abritant les douze apôtres. Les apôtres sont présents comme piliers de l'église accueillant le fidèle et ouvrant la route vers Notre-Dame-de-Bonne-Encontre.

     

     

     

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     Le bénitier au lanternon.

     

     

    Réseau du petit Patrimoine

    Le maître autel exécuté en 1706 est l'oeuvre d'Alain Castel.

     

     

    Réseau du petit Patrimoine

    Le retable du XVIIème siècle, avec scènes de martyres, est posé sur un autel en granit du XVème siècle : il s'agit des martyres de saint Sébastien, saint Jean évêque et saint Mémoire.

     

     

     

    Réseau du petit Patrimoine

     

     

     

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    Réseau du petit Patrimoine

    Lumière Céleste.

     

     

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    Réseau du petit Patrimoine

    Les fresques réapparues lors de la rénovation des enduits en 2010.

     

     

    Réseau du petit Patrimoine

     L'armoire des "trésors".

     

     

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    Réseau du petit Patrimoine

     

     

     

    Réseau du petit Patrimoine

     À l'intérieur de l'église, on découvre un chancel, des vitraux du XVIe à côté de vitraux contemporains, un baptistère...

     


     

    Réseau du petit Patrimoine

     

     

     

    Réseau du petit Patrimoine

     

     

     

    Réseau du petit Patrimoine

     

     

     

    Réseau du petit Patrimoine

     

     

     

    Réseau du petit Patrimoine

     La Vierge allongée, autrefois allaitante.

     

     

    Réseau du petit Patrimoine

    Le dessin de la cariatide, au corps enserré dans des bandelettes, est tiré des traités d'architecture classique qui circulaient dans les ateliers d'architectes et de sculpteurs de Landerneau. Elle supporte la saillie supérieure du pan coupé de l'ossuaire. Pour favoriser la circulation dans l'enclos, le constructeur dut en effet abattre l'angle du bâtiment et recourir à ce procédé pour le consolider.

     


     

    Réseau du petit Patrimoine

     

     

     

     Réseau du petit Patrimoine

     

     

     

     Réseau du petit Patrimoine

     

     

     

     Réseau du petit Patrimoine

    L'ossuaire de 1619 rappelle sa fonction par la présence d'un homme qui brandit un crâne et un os et la citation : « La mort, le jugement, l'enfer glacé, quand l'homme y songe, il doit trembler : fol est, si par mégarde son esprit ne voit qu'il faut mourir. »


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